mardi, juillet 16, 2024

Les résultats de la recherche en science de la soutenabilité

CATÉGORIE

Environnement

Et si l’Anthropocène voyait la biodiversité augmenter ?

Cette question sujette à controverse est abordée dans une lettre parue récemment dans la revue Nature par Chris Thomas, professeur de biologie de...

Le « paradoxe de l’environnementaliste » : pourquoi le bien-être s’accroît quand les services écosystémiques déclinent ?

Si nous dépendons si étroitement des services écosystémiques et que ceux-ci disparaissent, pourquoi le bien-être humain ne diminue-t-il pas ? Les auteurs de l’article ont émis quatre hypothèses et évalué leur bien-fondé : la mesure du bien-être humain est incorrecte ; le bien-être repose essentiellement sur l’apport alimentaire et peu sur les autres services écosystémiques ; la technologie a découplé le bien-être humain des écosystèmes ; il existe un décalage entre la dégradation des écosystèmes et les répercussions sur le bien-être humain.

L’économie de la biodiversité et des services écosystémiques

Dans l’optique de promouvoir la mise en place du développement durable, un paradigme s’impose progressivement depuis environ une décennie, celui d’intégrer dans l’économie le...

Le réchauffement planétaire est-il irréversible ?

On entend souvent dire que même en cessant du jour au lendemain nos émissions de GES, le réchauffement climatique causé par nos émissions passées...

Le recul des glaciers de la planète

Malgré les innombrables résultats de la recherche qui convergent dans le même sens, malgré les multiples publications et les diverses déclarations des scientifiques teintées...

Les impacts de la pollution

Comme on l’a vu dans l’article précédent, le nombre de substances différentes fabriquées par nos sociétés est gigantesque et avoisine 100 000. Les sources...

Le trifluorure d’azote, vous connaissez ?

Parmi le cocktail de molécules que l’action humaine rejette dans l’atmosphère, on compte une petite molécule qui, comme nombre de ses consœurs, joue le...

Les limites planétaires d’un monde viable

Des chercheurs ont identifié neuf crises environnementales (ou processus naturels) pour lesquelles il apparaît nécessaire d’associer une variable (un indicateur) permettant de quantifier leur évolution par rapport à un état de référence, et d’établir une valeur critique, c’est-à-dire une limite planétaire, au-delà de laquelle un tel processus terrestre pourrait basculer dans un nouvel état. De ces neufs limites planétaires, trois ont déjà été dépassées, soient le réchauffement planétaire, l’érosion de la biodiversité et le cycle de l’azote.

La gouvernance du trou de la couche d’ozone: un exemple à suivre

L’inquiétude qu’a provoquée le trou de la couche d’ozone a engendré une réponse remarquablement rapide et efficace de la communauté internationale pour un problème de cette ampleur, une première qui reste hélas inégalée. Le Protocole de Montréal a des effets bénéfiques, non seulement sur la couche d'ozone mais aussi sur le réchauffement planétaire. Il est à souhaiter que ce succès de gouvernance se répète pour les autres crises environnementales globales afin de rendre notre planète viable.

La définition et les fonctions de la biodiversité expliquées en moins de 3 min

Un petit bijou de vidéo qui ne dure que 2 min 42 explique ce qu’est la biodiversité de la planète (diversité des espèces, des...

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